dimanche 25 juillet 2010

Ecrire, toujours...

Une impression de liquéfaction m'envahit, ce jour n'est pas le mien. Je ne sais pas d'où me viennent mes idées, les pensées fusent dans ma tête. Les astres ont chamboulé ma nuit et bouleversent ce jour. Cet au-delà inconnu me perturbe en ce mercredi.
Même le temps change, s'éteint, fatigue et me pèse. Mon regard se perd dans une vague impression troublant chacune des victimes de ma pupille.
Comme si M. Freud avait une quelconque importance, on passe des heures à expliquer chacun de ses mots, chacune de ses phrases. Est-ce qu'on essaie de commenter, de trouver le sens de mes mots, la pensée qui se cache derrière eux?

Comme si je faisais attention à mon entourage, il continue à vivre, mais j'écris, je suis l'encre qui plonge dans une danse infinie avec les atomes boisés de ma page.

Le temps n'est pas mon ami en ce matin, il ne passe pas assez vite et cette phrase reflète une réminiscence de vacances. Pourquoi? Parce que je n'invente rien. Je fais de la récupération de différentes choses de différents moments : je les mixe tel un DJ avec ses morceaux de musique préférés.
Je me demande si je vais devoir écrire encore longte
mps car c'est la seule chose actuellement qui me donne de la contenance dans ma solitude intérieure mais je n'en peux plus, ça m'ennuie, me fatigue.

Je lève ma tête et on remarque mon existence. Ça sonne. STOP.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire